
Partageant le discours de Robert D. Hales du collège des douze apôtres
«Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment», Tamara enseigne ce dimanche matin, la vertu de la persévérance dans l'épreuve :

Pour pouvoir marcher un jour, l'enfant doit subir le processus d'apprentissage fait de chutes et souvent de douleurs. Le processus est difficile, mais la liberté et la joie de marcher dépassent de loin les souffrances et l'adversité temporaires.
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Il en va de même pour nous, dans nos expériences de tous les jours, il est nécessaire que nous passions par des épreuves et des expériences seuls. Nous avons besoin d’avancer par nous-mêmes sans quoi la persévérance ne servirait à rien. Les enfants sont les exemples parfaits de ce que nous devrions être. Les touts petits enfants n’abandonnent jamais, ils persévèrent et endurent avec force et détermination les expériences qu’ils rencontrent sur leur chemin."
Observons un papillon. Serrée, enveloppée dans son cocon, la chrysalide en développement doit user de toute sa force pour briser sa prison. Le papillon pourrait se demander : « Pourquoi dois-je tant souffrir ? Pourquoi ne puis-je tout simplement, en un clin d'œil, devenir un papillon ? ». L'effort requis pour sortir du cocon donne au papillon la force nécessaire pour voler. Sans cette adversité, le papillon n'aurait jamais la force d'accomplir son destin. Il n'acquerrait jamais la force de devenir quelque chose d'extraordinaire.
En mettant notre foi dans le Seigneur, et en nous concentrant sur l'éternité, nous serons bénis en étant capables d'accepter n'importe quelle épreuve, car la vie sur terre, comme nous le savons, est seulement temporaire, et, si nous la supportons bien, le Seigneur nous a promis: «Et si tu gardes mes commandements et persévères jusqu'à la fin, tu auras la vie éternelle, qui est le plus grand de tous les dons de Dieu» (D&A 14:7).
Puissions-nous être capables de dire ce que Paul a dit à Timothée: «J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi» (2 Timothée 4:7).
Belle leçon enrichie par les expériences et témoignages de chacune.
Merci Tamara !